par timal » Jeu Aoû 30, 2012 11:19
Phrase de mon ami 6sko "AH.....ON VA COMMENCER A SAVOIR ......Colombo disait tjs:A qui, profite le crime ?"
ARTICLE QUI DIT:
LES LIAISONS DANGEREUSES
Les personnes chargées par la préfecture du risque requins, sont celles qui, rémunérées par les institutions, envisagent aujourd’hui des recours contre l’état, pour qu’il n’y ait pas de prélèvement de requins… « Cherchez l’erreur !!! ».
Quelques noms et quelques chiffres récupérés sur les sites de l’IRD entre autres. S’agissant d’associations, il n’y a pas obligation pour eux, de rendre des bilans publics, alors, ils les gardent bien cachés leurs chiffres !
La crise requin piétine malgré l’urgence économique, sanitaire et sociale qu’elle crée à La Réunion.
Les associations scientifiques et leurs dirigeants crient au scandale, pour ce qui est arrivé par leur faute, par leur incapacité à gérer la réserve marine et les conséquences de sa création.
Les surfeurs provocateurs, les ravines, le réchauffement de la planète, pourquoi pas les femmes battues ? Tout y passe pour qu’on élude les vrais problèmes, ça fait recette et ça fait lire nos gazettes. On donne la parole à des associations venues d’ailleurs dont la réputation scélérate n’est plus à faire, ça relance le débat, et on recommence. Pendant ce temps les scientifiques mangent a tous les rateliers, nos enfants meurent, la pêche côtière disparaît, et le tourisme s’épuise.
Qui sont nos manipulateurs patentés:
« Vie Océane » « Globice » « l’ARDA » « RUN SEA » « l’ARVAM » « la SREPEN »
« GIP RNMR » « l’IRD » « LE PARC MARIN ».
Leur motivation c’est bien sur la recherche, mais pas n’importe laquelle, ils se sont spécialisés dans un type de recherche productive, celle aux subventions, Europe, Région, Département, Communes et quelques autres… Ce sont là les seules recherches qu’ils aient entreprises, et qui aboutissent chaque année.
Chose étrange, les dirigeants de toutes ces « Initiales », sont les mêmes personnes qui passent d’une association ou d’une société à l’autre, de président, à vice président, de membre du conseil consultatif, à membre du comité scientifique, de salarié à responsable scientifique ils se balancent du professeur, du chercheur du président et de la pommade à tout vat, et ça suffit à noyer le poisson, (humour).
Voici les noms de quelques uns de nos chercheurs,
Sonia RIBES-BEAUDEMOULIN - Conservateur du Muséum d'histoire naturelle de St Denis.
- Membre du Conseil d'administration de l'association écologiste Vie Océane
- Présidente du Comité Scientifique du GIP-RNMR (=groupement D’INTERET PUBLIC de la Réserve Marine de la Réunion)
- Membre Comité Consultatif du GIP-RNMR
- Représentant la communauté scientifique au sein du comité réunionnais de réduction du risque requins.
Stéphane CICCIONE - directeur de Kélonia
- Vice-Pdt de l'association écologiste Globice
- Membre du Comité Scientifique du GIP-RNMR
- Représentant la communauté scientifique au sein du comité réunionnais de réduction du risque requins
Bernadette ARDON –
- Présidente du Conseil d'administration de l'association écologiste SREPEN
- Membre Comité Consultatif du GIP-RNMR
- Membre du comité réunionnais de réduction du risque requins
- Représentante de l'environnement au sein du Parc National de la Réunion
Florence Trentin – Docteur en Physiopathologie Végétale - Agrégée en Sciences de la VIe. Enseignante à l'IUFM
- Présidente du Conseil d'administration de l'association écologiste Vie Océane
- Membre Comité Consultatif du GIP-RNMR
- Membre du comité réunionnais de réduction du risque requins
Virginie BOUCAUD – professeur de S.V.T
- Présidente de l'association écologiste Globice
- Membre Comité Consultatif du GIP-RNMR
- Membre du comité réunionnais de réduction du risque requins
Roland TROADEC – Professeur retraité, chercheur associé au laboratoire de Géologie de l'université de la Réunion, animateur bio ?
- Vice-Pdt du Conseil d'administration de l'association écologiste Vie Océane
- Vice-Président du Comité Scientifique du GIP-RNMR
- Membre Comité Consultatif du GIP-RNMR
Violaine DULAU - docteur en cétologie
- Salariée (Responsable Scientifique) de l'association écologiste Globice
- Membre du Comité Scientifique du GIP-RNMR.
BOSC Directeur général de l’association ARDA et dirigeant dans la s.a.s. SAM société privée gestionnaire de la ferme aquacole financée par l’ARDA, la SAM est déficitaire depuis sa création il y a 12 ans, et pas qu’un peu.
Me Pascale CHABALET Chercheur à l’IRD, Vice présidente du conseil scientifique de la réserve marine, associée au programme Charc.
En raccourci :
Comme nos représentant de l’état et nos élus ont peur d’en prendre la responsabilité, ils ont confié à une vingtaine de personnes le soin de dire ce que l’état doit faire pour prémunir la population contre le risque requins. Mais comme ces personnes sont par leurs fonctions intéressées financièrement à tout ce qui touche à la recherche et à la biologie marine, elles attaquent via leurs associations ou organismes la décision de prélèvement prises par l’état. D’ici qu’ils demandent une subvention au préfet pour couvrir les frais d’avocats !!!
Comme ils n’ont pas fait grand-chose, mais surtout afin d’éviter les choses qui fâchent, ils pondent des rapports et des communiqués de presse à tout va.
Ils en oublient les précédents rapports commandés à d’autres scientifiques par nos institutions, qui elles faisant clairement apparaître que la solution aux attaques, et ce dans le monde entier, passait par des dispositifs de pêche.
Deux point communs à tous scientifiques (petit paradoxe),
- ils vivent tous de l’argent public mis dans la recherche.
- Ils sont tous membres du comité Réunionnais de réduction du risque requins.
Ils sont tous dans l’institution chargée par les pouvoirs publics d’assurer notre sécurité en matière de risque contre les attaques, et là, il y a du souci à se faire :
- Pour les surfeurs, mais de ça ils s’en foutent,
- Pour nos enfants car avec des chercheurs pareils, leur avenir est derrière eux.
- Pour la pêche artisanale qui cède chaque année un peu plus le pas à la pêche industrielle qui elle décime par milliers les requins et autres dauphins sans que personne ne s’en émeuve,
- et enfin pour le tourisme en général, qui n’avait pas besoin de ça après les incendies de forêt, le chik, et la fin annoncée de centaines de pme.
Mais revenons-en à nos requins (pas les bouledogues ou les tigres).
L’absence de proposition et de solutions, fait de ces gens des criminels.
-Parce qu’ils laissent croire à la population et aux touristes qu’ils ne risquent rien,
-Ils ont laissé les surfeurs se faire dévorer, et ils laissent encore les plagistes et autres adeptes des activités nautiques continuer leurs activités, comme s’il ne s’agissait que d’un petit problème de réglage.
Ils sont responsables avec les pouvoirs publics, des drames vécus, comme ils seront responsables des prochaines attaques.
Le label « Pavillon Bleu » qu’arbore fièrement la commune de Saint Paul, il faudra rapidement l’oublier, le seul pavillon flottant sur nos plages est rouge, avec un panneau de danger au dessous. Mais ce n’est pas dit dans les dépliants touristiques…
Cette affaire qui est devenue un drame pour les uns, est une pompe à fric pour les autres.
Les surfeurs, les pêcheurs et les professionnels du tourisme, on s’en fou. Les uns paieront de leur vie, les autres de leur poche ou de leur avenir, devenu plus qu’incertain.
La recherche, on sait quand ça commence, jamais quand ça abouti, alors, pourquoi voudriez vous qu’ils s’arrêtent ces gens là, c’est leur gagne pain !
Quant à l’argent public englouti dans ces recherches bidons, car tout le monde connait déjà les résultats, alors que leur publication sera si tout va bien pour l’an 2092, il serait intéressant de connaître l’avis de la cour des comptes sur le sujet.
Les frais de fonctionnement uniquement, (je ne parle pas d’investissements) de quelques unes de ces associations citées ci-dessus, on de quoi faire rêver nos chercheurs de la ligue contre le Cancer, ou ceux de Sida Solidarité.
EN 2009 d’après l’IRD (désolé depuis ils cachent les chiffres).
L’ARDA 616 000
L’ARVAM 559 000
L’IRD oi 963 000
L’université Réunion (l’ird et les autres) 1 455 000
KELONIA 3 000 000
QUALI TROPIC 410 000
RESERVE MARINE 315 000
Soit 7 318 000
Ce total est très partiel et encore loin de refléter la vérité en 2012
Elle pas belle la vie : une bande potes, qui se partage un gros gâteau, les uns coupent les oignons les autres pleurent.
Il suffit de regarder les sites internet des associations ou organismes en question, ils s’affichent tous, comme étant les partenaires privilégiés les uns des autres. Et pour cause, ce sont les mêmes personnes. Même si l’IRD se défendait dans la presse d’être partenaire de l’ARDA, ‘les rats quitteraient-ils le navire ?’.
Je ne dispose malheureusement pas d’autres chiffres, mais ces gens là cumulent les salaires de chercheurs et de profs et autres avantages, ils se tapent leurs petits voyages à Cosmoledo à Alagalega etc…cherchez pas vous n’avez pas le droit d’y aller vous. Et bien sur c’est nous qui payons pourquoi voudriez vous qu’ils aient envie que les choses changent ? Au contraire, ce qu’ils veulent, c’est faire pareil à la Réunion avoir sous la main, pas loin de leurs bailleurs de fonds, un p’ti coin bien à eux.
Ils ont, par leurs manipulations et avec l’aide des médias, réussi à faire d’un événement dramatique « un fait divers relevant de la sécurité publique » une affaire d’état. Facile, les médias pas grand chose à dire à la Réunion, alors, ils ont laissé glisser le débat sur les méchants surfeurs blonds qui veulent tuer des requins.
La seule considération que l’état aurait du prendre en compte dans cette affaire, c’est la sécurité, Le reste aurait du être relégué au second plan.
ET LES ETUDES N’AURAIENT JAMAIS DUES ETRE CONFIEES A DES GENS QUI SONT JUGES ET PARTIS.
Hugues Savalli