en fait a bien lire les infos sur corail feu je retiens ça d'un site de plongée
http://plongee.lelagon.org/showthread.php?p=80Corail et coquillages :La blessure ou coupure par coraux (madréporaires) est la conséquence d’un contact, d’un frottement ou d’un appui sur les madréporaires, parfois même d’un heurt. Elle met toujours beaucoup de temps à guérir. Il existe une disproportion entre le caractère bénin de la lésion initiale (une rhagade) et l’impotence qui peut en résulter.
Dans le meilleur des cas, lorsque les soins sont immédiats et que la victime jouit d’un excellent état général, la cicatrisation ne survient qu’au bout de 15 jours à 3 semaines.
Souvent malgré les soins, des complications infectieuses peuvent s’observer : lymphangite, cellulite, adénite, suppuration.
Dans un autre cas, la plaie évolue selon un mode torpide vers la chronicité.
1. Bien débarrasser ces blessures de toute particule étrangère (sable corallien) par un brossage soigneux de la plaie. Désinfecter. On peut verser sur la plaie du jus de citron vert qui fait merveille dans certains cas.
2. Pour calmer l’inflammation, conséquence de la réaction aux cnidoblastes (cellules urticantes à venin), on applique des compresses imbibées de sérum physiologique discrètement alcoolisé.
Erythromycine en cas de surinfection (streptocoques).
Si les lésions sont étendues, traiter par cryothérapie (glace).
donc je surveille...
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lol
en plus de ...on dit l'avoir revu...ou un autre ou une descendanceSerpents mortels dans le lagon de Saint-Pierre
Messagepar ohana » 14 Mar 2007, 17:29
Tiré de
http://www.chat-reunion.com/forumCR/vie ... =11&t=3345Le lagon de Saint-Pierre accueillerait depuis plusieurs mois l’un des serpents de mer les plus venimeux du monde. D’origine australienne, il aurait pu emprunter des courants océaniques favorables. Observé par plusieurs baigneurs et maîtres nageurs sauveteurs, les doutes sur son identité réelle planent toujours..........
Après les requins, les poissons-pierre et les rascasses, voici venu le temps des serpents de mer. Et quel serpent de mer ! Le laticauda, l’espèce la plus dangereuse au monde, aurait été observé à plusieurs reprises dans le lagon de Saint-Pierre. Mesurant mois d’un mètre, avec des annelures noires entrecoupées de gris et équipé d’une queue se terminant en forme de pagaie, l’origine du serpent ne ferait aucun doute. “Il s’agit d’une espèce australienne, affirme un baigneur qui a vu le spécimen à plusieurs reprises. Elle est sans doute arrivée dans les cales d’un bateau de pêche. Ces derniers se chargent d’eau de mer pour se lester au départ de l’Australie avant de se décharger quelques milliers de kilomètres plus loin. Le serpent de mer aurait pu arriver comme ça.” Avec plus de certitude, l’animal marin a pu profiter des courants océaniques pour arriver à destination. “Du moment qu’ils trouvent à manger et que la température de l’eau est identique, ces animaux peuvent très bien survivre”, note Mickaël Rard, président de l’Observatoire marin de La Réunion.
puis les vaisseaux portugais..sans Christophe!Article CLICANOO.COM | Publié le 1er février 2010Société
Beaucoup de baigneurs piqués par des méduses
Portées par les courants, les méduses font une apparition remarquée sur les plages de l’Ouest. Les maîtres nageurs de Boucan Canot ont dénombré hier, plusieurs dizaines de piqûres, dont un cas particulièrement critique. Le drapeau rouge a été hissé.
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Les MNS de l’Ouest n’avait pas connu pareil épisode depuis 2007. A Boucan-Canot notamment, où les méduses ont occupé leurs esprits tout le week-end. Samedi, cinq attaques ont été signalées. Hier matin, à 10 heures, alors qu’ils prenaient leurs postes, sept baigneurs avaient déjà été touchés. D’où la décision de hisser le drapeau rouge : baignade interdite. Le panneau “Attention méduses” a également été dressé. “Il s’est produit une trentaine d’attaques”, expliquait le MNS Bruno Rivière, hier à 16 heures. Dont un cas assez grave, une jeune fille de 17 ans, “ça a failli mal se terminer”. Rythme cardiaque effréné, maux de tête, les anges gardiens de la plage ont immédiatement appelé les secours. La victime a été transportée par le Smur au centre hospitalier Gabriel-Martin.
Un jeu pour les marmailles
Et c’est ainsi que la journée fut rythmée. Par ces arrivées intempestives de bancs de physalies, flottants au plus près du rivage, déportés par la houle. “Il y a une rafale de méduses toutes les demi-heures. Les gens touchés arrivent par dizaine au poste”, raconte Bruno Rivière. La piqûre se manifeste sous deux formes. Par l’apparition de plaque de pustules. Munie de filaments urticants pouvant atteindre deux mètres, la méduse injecte son poison, pouvant également laisser de longues traces, semblables à celles d’un coup de fouet. Dans les deux cas, c’est très douloureux. Les effets sont immédiats : malaise général, sueurs, vertiges, convulsions, vomissements, douleurs musculaires... A priori sans danger, les conséquences diffèrent selon la personne touchée. Particulièrement vulnérables : les asthmatiques, les allergiques et les cardiaques. Et les MNS doivent gérer tout ça. “Quand on se fait piquer, il faut frotter avec du sable pour enlever les filaments. Puis, on donne un anti-inflammatoire”. Autre remède, découvert hier et qui semble fonctionner. “Prendre un cachet d’aspirine et le frotter sur la brûlure”. Malgré le risque avéré, la mer regorgeait de baigneurs hier après-midi. “Nous leur avons dit quatre fois de sortir de l’eau”, souffle Bruno Rivière. Un avertissement pas franchement pris au sérieux. Des méduses volaient hier entre marmailles. Une attraction hors-norme, semble-t-il. Mais qui peut coûter cher