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Et puis si on se fie à certains films du cinéma français, on pourrait se demander où est notre culture et ce qu'elle vaut ..
" les bidasses en folie" , " les charlots" et autres navets sans parler de la téléréalité ( même si on la pique aux us ) ..
Jay a écrit:C'est l'Amérique tout simplement. Ils sont comme ca les américains (et pas seulement les gars du middlewest hein !), ils aiment le grand spectacle. Faut pas forcément y voir de la profondeur...
C’est la magie de ce genre de série Z : plus c’est n’importe quoi, meilleur c’est ; plus c’est mauvais, plus c’est bon. Lors de la première diffusion de Sharknado aux Etats-Unis, en juillet, il a plu beaucoup plus de tweets que de requins sur Los Angeles dans le film, et ce n’est pas peu dire. Rien moins que le deuxième programme américain le plus tweeté (derrière le funambule du Grand Canyon Nik Wallenda), à raison de 5 000 tweets par minute… Même Mia Farrow y est allée de son «Omg omg OMG #sharknado». Au cours du mois de juillet et toujours aux Etats-Unis, la chaîne câblée a rediffusé deux fois son grand œuvre et à chaque fois l’audience a augmenté, portée par les cuicuis de Twitter, battant les records de Syfy qui s’est offert le luxe de sortir Sharknado au cinéma…
(...)
Car c’est du tongue in cheek movie, du film pourri pour rire. Du «ridiculously entertaining», revendique même Thomas Vitale, directeur des programmes de Syfy interrogé par Business Week. En mal de films de genre pour nourrir son antenne, ceux-ci étant tournés uniquement pour sortir en DVD, Syfy, spécialisée dans la science-fiction donc, mais aussi l’horreur, a lancé il y a une dizaine d’années ses propres productions. Avec une méthode simple : on cherche d’abord le titre du film, et après on tourne. Les téléspectateurs de Syfy aiment les films avec des pieuvres et des requins ? Va pour Sharktopus. Ceux avec des piranhas et des anacondas ? Zou, Piranhacondas. Grosses araignées dégueus et tremblements de terre ? Bam, Arachnoquake. C’est donc tout naturellement que Sharknado - dont la suite est déjà en route - a dégouliné du cerveau malade des dirigeants de Syfy. En attendant, on espère, Volcashark avec des volcans en pleine éruption de requins et, surtout, Léonarshark où une jeune réfugiée kosovare génétiquement modifiée dévore des ministres de l’Intérieur robots.
neric a écrit:La bande annonce est visible, c'est assez pathétique, les acteurs n'ont aucun charisme (patriiiiiiiick revient !!!) et c'est une suite ininterrompue de cascade apparemment !![]()
Franchement vous avez vu la gueule du nouveau Bodhi, il a rien du gourou ou du surfeur mystique !
Jean-Christophe a écrit:Les filles avaient Dirty dancing, les garçons avaient POint Break.
Jean-Christophe a écrit:
Toutefois, je regarderai ce film bien que je sache d'avance que c'est un navet dans toute sa splendeur parce que Point Break a marqué l'enfant que j'étais quand je l'ai vu pour la première fois. Les filles avaient Dirty dancing, les garçons avaient POint Break. C'est un truc mythique qui m'a donné envie de surfer avant même que je ne vois un surfeur pour de vrai.
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