Un classique aussi qu'on trouve plus à l'étranger:
http://zinka.com/Colored-Nosecoat
Ca tient à mort sur la gueule
Gart a écrit:Je viens de vérifier et les produits que j'utilise (LAbo BIarritz) contiennent du dioxyde de titane et de l'oxyde de zinc micronisés. Donc des nanoparticules. Je lis sur le web qu'il faut se méfier du dioxide de titane micronisé. Certains ont des avis la dessus ?
Crèmes solaires et nanoparticules de dioxyde de titane : quel risque ?
Le 22 avril dernier, le CSSC (Comité scientifique européen pour la sécurité des consommateurs) a révisé son avis rendu en juillet 2013 sur le dioxyde de titane employé sous sa forme « nano » dans les produits cosmétiques. Il confirme que les nanoparticules de dioxyde de titane qu’il leur a été demandé d’évaluer sont sûres si elles sont appliquées sur une peau saine, intacte ou présentant des coups de soleil, sans dépasser une concentration de 25 %.
Le CSSC indique cependant que respirer des nanoparticules peut donner lieu à une toxicité et à une inflammation des poumons. Il faut donc veiller aux applications où l’inhalation est possible. Or les sprays, aérosols et autres brumes s’affichent cet été comme la grande tendance. Si vous vous sentez incapable d’y résister, pensez (loupe en main) à scruter les listes d’ingrédients pour y dénicher l’éventuel « nano » présent, puisque sa mention est désormais obligatoire sur les étiquettes. Son nom doit être écrit en toutes lettres derrière l’ingrédient concerné et il n’est pas rare qu’il apparaisse associé au dioxyde de titane.
Ne soyez pas surpris de trouver du dioxyde de titane (TiO2) dans les listes d’ingrédients des produits bios. Certes, le bio exclut le recours aux nanoparticules quand il est question de protection UV, mais trouver le fournisseur d’ingrédients qui n’emploie pas le TiO2 nanoparticulaire comme matière première du TiO2 non nano relève de l’impossible. Dans ce cas, le règlement cosmétique ne laisse pas le choix : il faut étiqueter « nano » même si l’ingrédient mis en œuvre dans la formule a subi divers traitements (enrobage, agrégation…) conduisant à une forme qui n’est plus nano, a priori stable. Ecocert, qui labellise les produits bio, a donc dû mettre en place une dérogation.
Au final, on se retrouve bêtement face à des étiquettes confuses annonçant du « nano » qui n’en est pas, voire du « sans nano » qui pourrait en être…
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