Gart a écrit:Moi aussi, j'ai toujours eu envie d'y aller mais le temps pourri me retient pour l'instant.
Sinon, comment vous avez géré le fait de vous balader à 5 véhicules ? Vous vous suiviez toujours ? Quand vous bougiez, vous décolliez tous ensemble ou vous vous donniez rendez-vous ? En général quand on on est trois bagnoles, c'est déjà impossible de faire des départ rapides, y'en a toujours un qui tergiverse ou qu'il faut attendre alors à 5, ça devait prendre des heures. Vous aviez peut-être un chef qui donnait les ordres et les autres au garde à vous
Nous avons toujours voyagé tous ensemble, sauf en milieu de trip lorsque Ragondin est partis en Irlande du Nord (côte Nord, les pas de géants, London Derry et Belfast).
On a fait une tentative une fois de se séparer pour gagner 10 minutes : résultat, on s'est perdu, énervés et on a perdu 1/2 heure
C'est clair que ce n'est pas évident de bouger 5 camions et surtout avec les enfants (heures des repas relativement fixe, pause gouté ...), mais je trouve que cela c'est très bien organisé. Avec de la patience ça le fait.
On a essayé de voyager en suivant le Stormrider et d'aller ou les préviz météo étaient les meilleures. Mais c'est très difficile car les temps de route sont dingues entre les spots et entre les zones de surf. Quand tu es à Bundoran, tu ne vas pas à Lahinch pour une session même si le vent est d'Est : il y a une matinée de route
Donc, on a commencé par le Nord, et le surf y a été bon.
Les filles étaient à fond avec le guide du routard pour trouver les trucs à visité autour des spots de surf.
Entre les sessions, on a visité.
Lorsque le 1er swell est passé, nous avons changés de zone, direction le sud.
Le surf est devenu pourri, alors c'est le guide du routard qui nous à drivé.
Le stormrider n'était pas loin mais le vent n'était pas de la partie.
Donc on a fait du tourisme. C'était donc plus simple pour faire bouger 5 camions. En effet, réveil tranquille, petit déj, départ vers 10h00 pour les visites de la journée, recherche du lieu de campement du soir et bonne soirée souvent au coin du feu de camp.
On a essayé de dormir devant le spot de la supposée session du lendemain, mais c'est quasiment mission impossible.
C'est clair que s'il y avait eu du surf à bloc et que nous aurions été obligés de bougés rapidement pour optimiser les vents, marées et autres contraintes liés au surf, cela aurait été beaucoup plus compliqué.