lugo a écrit:Salut
A mon humble avis, ce qui attire et est addictif dans cette activité c'est principalement son côté "chasse", avec l'immense avantage de pouvoir la pratiquer sans avoir à ôter la vie de quoi que ce soit. Un surfer, c'est juste un chat qui confond les vagues avec les souris.
Gart a écrit::
Je pense aussi que la décharge hormonale est différente selon les sports. Celui qui court, je le comparerais à un mec qui sirote de la bière à 4,5 % toute la journée. Alors que le surfeur se tape un shot de vodka (pour rester politiquement correct) à chaque vague [emoji38]
Gart a écrit::+1: Il y a aussi l'aspect particulièrement aléatoire qui joue, je pense.
Le circuit de récompense hormonal, qui a un rôle central dans les addictions, est plus stimulé par une récompense aléatoire (ce qui explique l'addiction aux jeux de hasards). Et si le hasard est inhérent à tous les sports, je trouve que c'est encore plus marqué pour le surf (ou d'autres sports addictifs) : la veille d'une session, on ne sait pas ce qu'on va trouver, contrairement à un tennisman par exemple. Et même pendant le check ou pendant la session, on ne sait pas si les conditions vont se maintenir, si la vague qu'on voit arriver sera la dernière de la journée...Si on va prendre une bombe ou si on va prendre 10 vagues décevantes.
Ce n'est qu'un aspect parmi d'autres bien sûr.
Je pense aussi que la décharge hormonale est différente selon les sports. Celui qui court, je le comparerais à un mec qui sirote de la bière à 4,5 % toute la journée. Alors que le surfeur se tape un shot de vodka (pour rester politiquement correct) à chaque vague
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